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L'École d'Art

Une école faite par les artistes d'aujourd'hui pour les artistes de demain.

LES ÉQUIPES :

L’EQUIPE  PÉDAGOGIQUE :

Marion AUBURTIN – Céramique

Clément BALCON – Sérigraphie

Julien BERTHIER – Pratiques artistiques & Sculpture/volume/bois/métal

Tamaris  BORRELLY  – Dessin

Raphaël  BRUNEL  – Histoire de l’art

Alain BUBLEX  – Suivi de projet

Sébastien GOUJU  – Céramique, Pratiques artistiques et coordination Cycle Supérieur

Eyal HADDAD  – Gravure & Sérigraphie

Sarah IHLER-MEYER  – Suivi de mémoire & histoire de l’art

Ellande JAUREGUIBERRY  – Modèle vivant

Emilie KRENGEL – Mulitimédia & édition

Julie LE GUERN – Suivi de projet

 

 

 

Marie LEVOYER  – Gravure

Olivier MARTY  – Photo

Louise MASSON  – E.D.M ( éditions, diffusion, multiples)

Arthur MIRAT  – E.D.M ( éditions, diffusion, multiples)

Nina ORLIANGE  – Photo & multimédia

Ruben PARIENTE  – Son

Aude PERRIER – Modèle vivant

Christine REBET – Dessin

Hugo VESSILER FONFREIDE – Sculpture/volume/bois/métal

Vincent VILLARD – Suivi de projet

Taline ZABOUNIAN  – Pratiques artistiques et coordination classe prépa

Alexandre ZHU   – Dessin

ASSISTANTE PÉDAGOGIQUE :

Anémone SOTER – Assistante pédagogique &

RÉGIE :

Victor APRUZZESE – Régie

COORDINATION PÉDAGOGIQUE :

Taline ZABOUNIAN ( prépa )

Sébastien GOUJU ( cycle sup )

L’ÉQUIPE DIRIGEANTE :

Julie LE GUERN – Co-fondatrice & Directrice communication

Vincent VILLARD – Co-fondateur & Directeur pédagogique

Eugénie DROUIN – Directrice du développement

Pierre DOIZE – Directeur financier

Sophie TOULOUSE – Directrice HYPERBIEN Galerie & HYPERBIEN Édition

Pierrick HENRY – Responsable mécénat

MARION AUBURTIN 

Céramique

Marion Auburtin est artiste, vit et travaille à Aubervilliers

site : https://www.marionauburtin.com/

CLEMENT BALCON

Sérigraphie

site : www.clementbalcon.fr

insta : @clement.balcon

JULIEN BERTHIER

Pratiques artistiques et sculpture 

Né en 1975, Julien Berthier privilégie un art comme intervention dans le monde plutôt que comme déclaration sur le monde. En construisant des objets à la fois hyperréalistes et néanmoins fiction nels qu’il confronte à l’espace public, Julien Berthier propose de ne pas laisser le monde aux mains des spécialistes. L’artiste poursuit une ambiguïté permanente dans les oeuvres et les situations qu’il produit. Il nous offre à la fois des objets plausibles (qui pourraient tout à fait exister dans le monde dans lequel nous vivons) et leur critique. Loin de l’idée d’améliorer le monde ou de vouloir donner la lécon, l’artiste utilise l’ironie, en tant qu’acte de feindre l’ignorance pour susciter un ques tionnement afin d’introduire une réflexion plus générale sur notre société.

Son travail a été montré autant en France (Fracs, La Panacée, la Force de l’art, Palais de Tokyo, Monnaie de Paris, Centre Georges Pompidou) qu’à l’étranger (Museum Tinguely Basel, ZKM Karls ruhe, Mudam Luxembourg, Z33 Hasselt, Villa Merkel Esslingen). Il a fait l’objet d’acquisitions dans différentes collections publiques (Fracs, Mac/Val, Ville de Paris, Centre Georges Pompidou).

Julien Berthier est représenté depuis 2002 par la galerie Georges-Philippe et Nathalie Vallois

site:  www.julienberthier.org

insta: @julberthier

TAMARIS BORRELY

Dessin

Tamaris Borrelly (née en 1987 à Paris) est une artiste française qui travaille principalement le dessin, l’animation et l’installation. Elle est diplômée de l’École nationale supérieure des Beaux-Arts (ENSBA) sous la tutelle de Giuseppe Penone, Ann Veronica Janssens et Djamel Tatah, puis poursuit ses études en vidéo d’animation 2D à la School of Visual Art de New York. Aujourd’hui, elle vit et travaille à Paris.

Elle est représentée par la galerie DUMONTEIL

RAPHAËL BRUNEL

Histoire de l’art

ALAIN BUBLEX

Donner consistance au projet comme tel par l’invention de nouveaux formats qui non seulement évitent de le cantonner dans un moment précis (faisant se mêler les temps de la conception, de la production et de l’exposition), mais qui permettent également de maintenir en communication aussi longtemps que possible les pratiques les plus hétérogènes : du design à la photographie, en passant par la mécanique et le tourisme. Telle pourrait être une caractérisation du régime de travail d’Alain Bublex. Exemples de formats ou de plate-formes d’opération : la voiture, le voyage, le module de chantier Algeco, la ville, l’architecture intérieure. Autour de ces structures s’organisent une multitude d’instruments de représentation, qui fonctionnent souvent comme des outils de transposition, de report, de transfert ou de traduction : croquis, dessins, photographies, plans, cartes, maquettes, modèles… Car il s’agit moins d’exposer l’idée en mobilisant ces différents supports à des fins de communication ou d’exposition, que de vérifier une intuition par une série de consolidations. Chaque pièce intégrée au projet est en ce sens un essai, un moment où le projet fait l’épreuve des conditions de sa mise en oeuvre. Le travail s’organise alors souvent selon un principe de disponibilité perpétuelle qui autorise la reprise et le prolongement permanents de projets anciens, abandonnés ou seulement rêvés. Les virtualités ouvertes par un projet peuvent toujours être réactivées. La forme-chantier a à cet égard valeur de paradigme. Elle manifeste la volonté de s’installer dans la temporalité d’une production continue, à la fois hyperactive et comme déliée de l’impératif de la réalisation. Le temps du projet s’étire en effet entre la conception (l’idée) et la réalisation (l’objet) : il se dilate au point de sembler parfois suspendu. C’est sous ce point de vue qu’il faut envisager le goût d’Alain Bublex pour l’exhibition des modalités de construction, à travers la disposition des inventaires, des modes d’emploi et des plans d’accrochage, des indications concernant le mode de fabrication ou de monstration des pièces, la production de certaines d’entre elles pendant le temps réel du montage de l’exposition, etc. Parmi les projets notables de l’artiste, on peut évoquer Glooscap, ville fictive au Canada n’existant qu’au travers de ses archives, l’Aérofiat, chaînon manquant du design automobile, les Tentatives, 16 expositions dont on ne connaît que les reproductions photographiques, et enfin, les Projets en chantier, faisant état de l’intérêt de l’artiste pour l’architecture et le paysage. Parmi ces derniers, deux ensembles en particulier: Plug-in City (2000), une interprétation de la très sérieuse proposition de Peter Cook en 1964 et le Plan Voisin de Paris où l’artiste repense la ville contemporaine en faisant appel aux plans dessinés par Le Corbusier. Si certains de ses projets s’inscrivent dans la continuité de relations étroites entretenues avec le monde industriel (Fournitures, une production darwinienne de prototypes de meubles), ses derniers travaux confirment la place importante occupée par le paysage dans le propos de Bublex, les Arrêts soudains, par exemple, associant les photographies par séquences complètes de prises de vues, ou Ryder Project une intervention dans le paysage Nord-Américain pour laquelle trois camions de déménagement traversèrent en convoi le continent, ou encore les Paysages, qui recomposent en une seule image, des éléments de paysages hétérogènes.

 

Alain Bublex est représenté par la  galerie Georges-Philippe et Nathalie Vallois

site : www.alainbublex.fr

Alain Bublex

photo@Anissia Kuzmina

SÉBATIEN GOUJU

Coordinateur pédagogique , suivi de projet & céramique

Sébastien Gouju manipule notre environnement visuel et les signes d’inspirations naturalistes présents dans la culture populaire. Plus particulièrement c’est avec facétie qu’il aborde l’usage et les représentations décoratives de la nature dans l’environnement domestique. Minéraux, faunes et flores sont régulièrement convoqués dans la mise en scène de leur distanciation à n’être qu’un élément de décor.

Valorisant les savoir-faire manuels en usant régulièrement de techniques issues de l’artisanat telles
la céramique, le verre, la broderie, le travail du métal et plus récemment du cuir, l’artiste applique des hybridations incongrues, des télescopages de sens et de formes. Ainsi reconfigurés, les signes devenus images proposent des narrations, tantôt légères, tantôt redoutables, à la croisée du quotidien et de la fable. En posant sur les arts décoratifs un regard décalé, aussi amusé que subversif, c’est à l’aide de la dimension matérielle de la sculpture que Sébastien Gouju dynamite les qualités esthétiques du cadre de vie et les décors que l’homme moderne se fabrique.

Sébastien Gouju est l’auteur de plusieurs expositions individuelles en France et à l’étranger (Lille, Metz, Strasbourg, Paris, Berlin, Stuttgart, …). Représenté par la galerie Semiose à Paris depuis 2007, elle lui consacre plusieurs expositions personnelles en 2007, 2010, 2014, 2016 et 2019.

Les œuvres de Sébastien Gouju ont récemment fait l’objet d’expositions au Musée d’art et d’histoire de Château-Gontier, Le Carré – Centre d’art contemporain (FR), à la fondation François Schneider, Wattwiller (FR), aux Magasins Généraux, Pantin (FR) et à l’atelier Hermès, Séoul (KOR) – Fondation Hermès, à La Chapelle des Calvairiennes – Centre d’Art Contemporain, Mayenne (FR) au Cyclop, Milly-la-Forêt (FR), à l’Abbaye Royale de Fontevraud (FR), à La Galerie – Centre d’art contemporain, Noisy-le-Sec (FR), à la Fondation Villa Datris, Isle-sur-la-Sorgue (FR), au Frac Nouvelle-Aquitaine MÉCA, Bordeaux (FR) au FRAC-Artothèque Limousin, Limoges (FR) et à l’Abbaye Saint André, Centre d’Art Contemporain, Meymac (FR). En 2018, Sébastien Gouju a participé au programme de Résidence d’artistes de la Fondation d’entreprise Hermès.

Ses œuvres figurent parmi les collections du Musée d’art moderne et contemporain de Strasbourg, (MAMCS) (FR), du Frac Alsace, Sélestat (FR), du Frac Champagne-Ardenne, Reims (FR), du Centre national des arts plastiques (CNAP), Paris (FR), de la Collection HBK Saar, Sarrebrück (DE), de la Collection de la ville de Dudelange (LU), du Musée de l’image, Épinal (FR), de la Fondation Colas, Paris (FR) et des artothèques du Grand Est, de Pessac, Caen, Strasbourg et Auxerre (FR).

Sébastien Gouju est représenté par la galerie Sémiose.

site: www.sebastiengouju.com

insta : @sebastien.gouju

EYAL HADDAD

Gravure & Sérigraphie

Diplômé de l’ERG (Bruxelles) et de l’Ensad (Paris), Eyal Haddad est un artiste dont le travail se concentre sur des projets sculpturaux et picturaux. Il est particulièrement attiré par la matière et ses transformations, qu’elles soient artisanales ou industrielles. C’est la gravure, véritable premier amour, qui lui a permis d’établir une relation intime avec la matière, marquant profondément son approche artistique.

Instagram : @Eyalhaddad_

SARAH IHLER-MEYER

responsable mémoires 

Sarah Ihler-Meyer est Critique d’art et commissaire d’exposition indépendante.

insta : @sarahihlermeyer

ELLANDE JAUREGUIBERRY

Modèle vivant

Né en 1985, vit à Paris et travaille au POUSH Manifesto à Aubervilliers. Il est représenté par la galerie de 22,48m2. Diplômé de l’ESAM Caen/Cherbourg avec les félicitations du jury en 2016, il a depuis exposé dans différentes institutions en France et à l’étranger comme L’Institut de France, la fondation Boghossian / Villa Empain à Bruxelles, le Stedelijk Museum à Schidam (NL) ou la MECA à Bordeaux. Il participe à différentes foires et salons tels que le Salon de Montrouge, la Art Paris Art Fair ou NADA Miami. On a pu voir son travail exposé à la Galerie A.ROMY à Genève, la galerie 22,48 m2 ou encore chez DILECTA à Paris. En 2018-2019, il effectue une résidence de recherche à l’Institut de Céramique de Jingdezhen en Chine en partenariat avec l’ENSA Limoges et la ville de Limoges, avant de rejoindre la Villa Belleville et la Cité Internationale des Arts de Paris. Son travail a été publié dans divers ouvrages et catalogues dont Dessin dans l’art contemporain, The Steitz Magazine, Point Contemporain, Connaissance des Arts, Le Quotidien de l’art ou Le Parisien. Il fait parti depuis 2023 des collections du FRAC Nouvelle-Aquitaine, du Fond d’Art Contemporain – Paris Collections et de la Collection de la Fondation Carmignac depuis 2024. 

site : www.ellandejaureguiberry.com

ÉMILIE KRENGEL 

Multimédia – Édition

Émilie Krengel est designer graphique et directrice artistique indépendante, diplômée de l’école des Arts Décoratifs de Paris, avec un passage en dessin de caractère à l’école d’art, design et architecture Umprum de Prague. Elle collabore sur des projets d’identité visuelle, d’édition, de sites internet, principalement avec des acteurs culturels (artistes, designers, artisans, écrivains…). En parallèle de sa pratique du design graphique, ponctuée par des projets plus expérimentaux focalisés sur l’image et l’auto-édition, elle enseigne également l’identité visuelle au Campus Fonderie de l’image depuis 2021.

site : www.emiliekrengel.fr

insta : @emiliekrengel

MARIE LEVOYET

Gravure

Elle fonde l’Atelier Marie Levoyet, un atelier d’héliogravure au grain et d’impression taille-douce. L’atelier se fait espace de recherches pour sans cesse ouvrir la technique à de nouvelles collaborations et typologies. C’est l’un des rares, à se spécialiser dans l’héliogravure colorée et a développer ainsi, des couleurs, pigments et encres en lien avec un territoire.

L’héliogravure au grain est un procédé photomécanique créé au XIX° siècle permettant la gravure d’une image photographique dans les profondeurs d’un cuivre, aujourd’hui reconnu Patrimoine Culturel Immatériel à l’Unesco.

Pour Marie Levoyet, l’héliogravure est  nourrie de rencontres avec, le contexte des images, le cuivre, le papier, l’encre, les matières, les gestes, la lumière. Dans ses projets personnels, c’est la notion d’insularité géographique et sensorielle qui guide ses travaux.

Toutes ses confluences lui permettent d’être en recherches constante et d’explorer les liens possibles avec des univers variés. Son travail personnel et de collaboration a été exposé notamment à Homo Faber (Venise – IT) ou à la Penumbra Foundation (New York – USA).

OLIVIER MARTY

Photo

Olivier Marty est photographe et directeur artistique.

Né en 1973 à Paris, il fait ses études à l’ESAG (Penninghen) dont il sort diplômé en 1997. Après trois ans en tant que directeur artistique free lance il monte l’agence de communication Ip-3, qu’il dirige encore aujourd’hui.

En 2013 il participe avec succès au concours du plus grand couscous du monde.

site : www.oliviermarty.fr

insta :@olivier_marty

MIRAT-MASSON

E.D.M (Edition, Diffusion, Multiple)

Louise Masson et Arthur Mirat collaborent depuis 2020, année où ils ont fondé leur duo et studio de design graphique “Mirat-Masson”.

Installé·es au Pré-Saint-Gervais, iels lancent en 2023 la maison d’édition indépendante “Aime-Aime Éditions”, dédiée aux objets multiples et aux formes imprimées.

Le duo accorde une grande importance au travail typographique et à l’inclusivité sous toutes ses formes. Mirat-Masson est un duo queer au sein duquel les langages deviennent des outils malléables, fluides et politiques.

En tant qu’auteurs-éditeurs, Louise et Arthur mêlent leurs pratiques graphiques et éditoriales pour explorer les rapports qu’entretiennent les langages avec les identités, tout en nourrissant leurs projets par leurs récits personnels.

Instagram : @miratmasson

Instagram éditions : @aimeaime.editions

siteweb : miratmasson.com

NINA ORLIANGE

Photographie 

Nina Orliange est une photographe et vidéaste basée à Paris et récemment diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs (Ensad). 

Elle développe une pratique artistique qui expose le monde ordinaire, celui des régions provinciales de France où elle a grandi. Elle place les gestes et les rituels au centre de son travail et interroge leurs représentations en faisant dialoguer les notions d’identité et d’image de soi.

site : https://www.ninaorliange.com

insta : @ninaorliange

RUBEN PARIENTE

Studio son

Producteur de musique, DJ, organisateur d’événements, manager, designer, mais surtout père fondateur du collectif et label Friendsome Records, Ruben Pariente Gromark aime avoir de multiples casquettes. Après avoir rapidement débuté sa carrière dans la musique à Paris, ville où il a grandi, c’est à Londres qu’il fait ses véritables premières armes alors qu’il s’expatrie pour y étudier le design industriel à la Saint Martins School. Après avoir obtenu son diplôme en 2009, c’est à la musique électronique qu’il va consacrer la plupart de son temps. D’abord en tant que DJ et organisateur des soirées Cliché, puis en tant que producteur au sein du groupe Electro-Pop Studio Montaigne.Cela fait maintenant plus de 15 ans qu’il fait tourner des disques de Paris à Berlin en passant par Ibiza, mais c’est il y a tout juste 5 ans, quelques années après son retour en France, que Ruben va fonder le collectif et label Friendsome, qui verra naître des stars montantes de la musique électronique française tel que Belaria ou Tatie Dee. Depuis quelques années il a concilié sa passion pour la nature et la musique en devenant un des membres du noyaux dure de l’association international DJs For Climate Action, dont il est aujourd’hui le président de la branche française.

site : www.friendsomerecords.com

insta : https://www.instagram.com/mi_homme_michel/

AUDE PERRIER

Modèle vivant

Graphiste, illustratrice et plasticienne.

Vit et travaille à Paris.

Diplômée en communication visuelle à l’ENSAD Paris.

Directrice artistique du studio avecbrio

Édition, communication culturelle, typographie, identité visuelle.

Site : www.avec brio.fr

CHRISTINE REBET

Dessin

HUGO VESSILLER-FONFREIDE

Sculpture, volume, bois, métal

 

Hugo Vessiller–Fonfreide est sculpteur et peintre, et présente son travail à travers des installations polymorphes, qui deviennent à l’occasion décors pour des happenings et interventions live. Il est diplômé de l’école Estienne et de l’école des arts décoratifs de Paris. Très engagé dans  le soutien à la création émergente, il est fondateur et président de l’artist-run-space Non-étoile.

Son travail convoque les cultures populaires et la manière dont elles s’incarnent dans notre environnement formel et conceptuel. Il se nourrit des champs de la publicité, du divertissement, de la production artisanale comme industrielle ou encore des imaginaires autour de l’énergie. Il compose ses narration en empruntant régulièrement aux champs de la prospective et de la science-fiction.

« Mon travail se veut avant tout être un État des Choses de ce Monde. À travers la re-présentation d’objets appartenant au répertoire des biens de grande consommation, je mêne une double enquête : d’une part l’analyse de mon propre rapport, circonstanciel et identitaire, à ces objets, et d’autre part celle du rapport que le public entretient à la réalité composée par ces phénomènes. Aucune abstraction, peu de poésie : mes pièces sont des témoignages directs des rapports entretenus vis-à-vis de ces artefacts. Leur remise en question n’est ici ni sociologique, ni sémiologique, mais avant tout plastique.

Quelle est la place prise par ces formes dans l’expérience quotidienne, quel est leur impact dans notre appréhension de la réalité ? Comment, à travers des vocabulaires plastiques variés, peut-on voir émerger des mythes particuliers? Comment peut-on s’emparer, détourner et finalement recréer un monde plastique qui nous convienne? Comment pouvons-nous, à partir de ces témoignages formels, nous projeter dans un futur viable malgré l’imminence de la catastrophe annoncée? 

Loin de prétendre fournir une réponse à ces questions, je propose plutôt des chemins de traverse, qui seront autant de circonstances singulières, d’occasions de voir sous un angle nouveau notre réalité commune. » 

Ses pièces ont été présentées au musée d’art contemporain du Val-de-Marne, au centre d’art contemporain Tignous, à la galerie Chapelle XIV à ou encore au centre d’art Les Brasseurs, à Liège.

insta : @hugo.vessiller.fonfreide

TALINE ZABOUNIAN

Coordinatrice pédagogique & pratiques artistiques 

Née en 1986, Taline Zabounian interroge le geste et l’acte de peindre. Comme un jeu, elle élabore des règles formelles et conceptuelles accompagnées de codes et d’outils faisant écho à l’écran numérique et l’image imprimée.

Diplômée des Beaux Arts de Paris, elle travaille à Ivry sur Seine dans l’espace collectif latelier, Taline Zabounian participe à de nombreuses expositions collectives, au CAC de Mont de Marsan, à Plan X Gallery à Milan, à la Galerie Slika Lyon, à la Galerie MR14 Paris, à la Monnaie de Paris, à Hanghzou pour la Triennale Printmaking, à la Maison Rouge etc…

En 2013, après une résidence à l’ACSL en Arménie, elle a sa première exposition personnelle au Musée d’Art Moderne de Yerevan. Plus récemment, en 2021, elle est invitée par la Galerie Hyperbien pour son exposition personnelle Phantasia.

 

 

ALEXANDRE ZHU

Dessin

Alexandre Zhu, d’origine chinoise, est né à Paris en 1993. Son enfance se partage entre Shanghaï et Paris. Il a été diplômé en 2018 de l’Ensad(École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris), et a étudié à la School of Visual Art à New York. Il vit et travaille actuellement à Paris.

Dans une ère caractérisée par des changements rapides, une mobilité et une mondialisation croissantes, le travail d’Alexandre Zhu se fonde sur une observation de cet environnement en mutation perpétuelle. Influencé par la transformation massive de Shanghaï dont sa famille est originaire, son travail interroge les non-lieux (cf. M. Augé), les espaces urbains interchangeables, anonymes et uniformisés. Il s’intéresse aux éléments qui peuplent ces zones à l’état transitoire, souvent évocateurs de nos actualités et aux problématiques sous-jacentes. Son travail se caractérise par une pratique essentielle du dessin au fusain, et s’étend également à la photographie et à la sculpture. Ses dessins figuratifs, parfois à la frontière de l’abstraction, ont un attrait pour la matière, où les surfaces sont travaillées par effacement en plusieurs couches.

site : www.alexandrezhu.com

insta : @alexandre.zhu

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23 Novembre 2024

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